Simply lies de David Baldacci, aux éditions Grand Central Publishing

Une mère célibataire ancienne détective reconvertie en enquêtrice pour une agence de recouvrement se trouve soudain confrontée à la découverte d’un cadavre lorsqu’elle visite un bien saisissable. Les réflexes de son ancien métier reviennent au galop et elle ne peut s’empêcher de tenter de trouver l’assassin. Voici le socle du nouveau roman de David Baldacci.

Dans son style caractéristique où il décrit avec précision chaque scène, l’auteur conduit son lecteur sur une route sinueuse : la compilation des différents indices, l’analyse des différentes pistes qui s’ouvrent, de manière à en refermer certaines, quitte à en ouvrir d’autres, et la formation de l’opinion qui mènera à l’identification du coupable et de son mobile. C’est un bon livre à prendre avec soi pour les vacances, de manière à se divertir sans se faire mal à la tête.

Extrait choisi :

« His name was Peter Gibson, and he was tall and handsome ad gregarious and funny. And, she had come to find out too late, he was also the world’s biggest prick. He’d told her that he wanted a large family, but as soon as one baby was out of the oven he had been a changed man, chafing at not being able to go out with his friends, or having his weekends “ruined” by the daddy do list. When she was pregnant with Darby, he had cleaned out their bank accounts and run out on her with his secretary, leaving Gibson with an infant and another baby on the way, and a mortgage and bills that could not be paid on her salary alone. » 

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