Témoignage de Marine, bénéficiaire de la bourse ONU-Rugby 2021
« Cette bourse de l’ONU va m’aider à financer mon séjour. Le voyage engrange pas mal de coûts. Je vais donc pouvoir respirer un peu. Parce que lorsque j’ai planifié mon prêt étudiant, je ne pouvais pas avoir une vue très précise de toutes les dépenses réelles. Ainsi en sortant de l’école, j’aurai une petite bouée avant de me lancer sur le marché du travail. Cela fera une grosse différence ! ».
En février, Marine Berthet en Master 1 à NEOMA apprend qu’elle bénéficie, via la Fondation NEOMA, de la bourse de l’ONU, le club des rugbymen diplômés de l’Ecole.
L’étudiante remplit en effet les trois critères : elle est boursière, elle est sportive et, cerise sur le gâteau, elle pratique le rugby.
Le rugby, c’est même une histoire de famille pour la jeune femme. « Mon grand-père paternel et mon père ont pratiqué le rugby. C’est une passion pour eux que j’ai voulue découvrir à 16 ans. Au lycée, je me suis inscrite, et j’ai eu moi aussi le coup de cœur pour ce sport collectif ».
En classe prépa, elle continue tant bien que mal, mais c’est surtout à NEOMA qu’elle rechausse les crampons. « Quand j’ai intégré l’Ecole c’est bien sûr le premier sport que j’ai voulu pratiquer, rapporte l’étudiante qui fait partie de l’association du Top Eight (association qui organise le tournoi EY-Top8) et du club des Raph’ales. Après avoir passé mes années de lycée et de prépa dans une école de filles, l’équipe féminine de NEOMA m’a rappelé cette sororité. Ce sont des vraies amitiés sur lesquelles on peut compter. Le lien qui se crée entre nous est quasi automatique. Nous sommes très soudées ». Marine Berthet devient même capitaine de l’équipe pour la saison 2020/21. Année de confinement qui a rendu les entraînements compliqués. Pas simple non plus depuis que la sportive est en stage. « J’avoue avoir du mal à caler le rugby dans mon emploi du temps ».
En ce moment, l’étudiante en marketing digital et communication travaille en effet dans une entreprise de joaillerie. L’univers du luxe, de la culture, des arts l’attirent en effet mais aussi le monde du sport bien sûr.
En septembre 2022, elle partira pour un échange à l’étranger. « Cette bourse de l’ONU va m’aider à financer mon séjour. Le voyage engrange pas mal de coûts. Je vais donc pouvoir respirer un peu. Parce que lorsque j’ai planifié mon prêt étudiant, je ne pouvais pas avoir une vue très précise de toutes les dépenses réelles. Ainsi en sortant de l’école, j’aurai une petite bouée avant de me lancer sur le marché du travail. Cela fera une grosse différence ! ».
La solidarité des rugbymen porte ses fruits.
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