Fade away de Harlan Coben, aux éditions Orion Books

Troisième tome de la série ayant pour personnage central Myron Bolitar, ce roman montre l’évolution de cet ancien joueur de basket ball devenu agent sportif, et surtout impliqué malgré lui dans des enquêtes policières non officielles. Cette fois-ci Myron Bolitar est chargé par son ancien coach sportif de retrouver un de ses anciens adversaires qui a disparu.

C’est simple, quand on a aimé un roman de Harlan Coben, on a envie de tous les lire et relire. Même si in fine la trame est sensiblement homogène, chaque roman est construit de manière individuelle avec un scénario propre. Donc, j’aime et je me ressers.

Extrait choisi :

« People bitch about my attitude, you know. They say I act like everybody owes me. Like I’m a prima donna. But they just mad because I see through them. I know the truth. They all think I’m some ignorant nigger – the owners, the coaches, whatever – so why should I respect them? Only reason they even talk to me is because I can slam the ball through the hoop. I’m just a monkey making them money. Once I stop, that’s it. I’m just another dumb slice of ghetto shit not fit to sit my black ass on their toilet’. He stopped then, as though out of breath. He looked back at the skyline. The sight seemed to rejuvenate him. » 

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