A gambling man, de David Baldacci aux éditions Pan Books
Chaque mardi, le club littéraire des NOEMES se propose de piquer votre curiosité autour d'un ouvrage, écrit par l'une des plumes de notre réseau, mais pas que...
A gambling man, de David Baldacci aux éditions Pan Books
Premier Roman | Ouvrage Alumnus | Nouvelle | Autre |
David Baldacci écrit ses romans policiers comme des séries télévisées ; c’est-à-dire qu’il arrive non seulement à publier deux ou trois romans par an, de plus avec des personnages centraux récurrents (ici, Aloysius Archer, qui était déjà apparu dans One good deed), et de surcroît dans un style tellement descriptif qu’il suffirait presque de reprendre les livres pour avoir le script transposable à l’écran. C’est une recette qu’il répète à l’envi, mais qui fonctionne parfaitement grâce à la capacité qu’a David Baldacci à mettre du rythme et du suspense dans ses récits. Extrait choisi : « The buzzer on the desk phone sounded off like a warning shot across the bow. Dash moved across the space with surprising speed and snatched up the phone. He listened for a moment and said, “Give me one minute, hon.” He put the phone down, stepped into his brown wingtips, which were set next to his desk, and rapidly put his collar and bow tie in place before slipping on his jacket and pinching his cheeks. Next he opened a desk drawer, slipped out something hairy, squirted on his underside something wet from a bottle on his desk, and then plopped a black toupee on the top of his bald head. He fussed over it in the slanted shaving mirror on his desk until he came away satisfied with the look. To Archer the thing looked like a baby skunk without a stripe.» Contacts Pour nous contacter, un seul mail : |
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