Ce livre est la suite de « A gambling man », avec toujours Aloysius Archer comme héros. Dévid Baldacci ne déparait pas de son style et écrit ses romans comme un scénariste préparerait le script d’une série télévisée à succès : description minutieuse des détails, personnages récurrents, nouvelles situations, scènes d’action et de romance, etc. A la fois on retrouve dans chacun de ses livres la même trame et on attend le prochain épisode avec avidité lorsque l’on tourne la dernière page.

Extrait choisi :

« He looked into the en suite bathroom. Blue and white tiles, blue tub, and towels monogrammed with an L were neatly arranged on a built-in shelf; no dead bodies were behind the shower curtain or stuffed in the linen closet. He grabbed a washcloth and used it to open the medicine cabinet, where he foud the typical items like face powder, a box of Tampax, creamy moisturizers, tonics, and other patent medicine. He also found a bottle of black hair dye and a hair straightener. » 

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